17/44
Quand le destin amène le professeur de Belfast JJ dans l’orbite des « racailles de bas étage » autoproclamées, Naoise et Liam Og, les lâcheurs d’aiguilles, se mettent au hip-hop comme personne d’autre. Rappant dans leur irlandais natal, ils dirigent un mouvement pour sauver leur langue maternelle. Candidature officielle de l’Irlande pour la catégorie « Meilleur long métrage international » aux 97e Oscars en 2025. Arló Ó Cairealláin : Chaque mot irlandais prononcé est une balle pour la liberté irlandaise. Référencé dans le podcast Film Junk : Épisode 961 : Violent in Nature + TIFF 2024 (2024). Belfast se produisant à Orbital. J’ai vu Kneecap aujourd’hui dans l’un des meilleurs multiplexes du Royaume-Uni. Il est intéressant de noter que l’ensemble du public (tous les 10) avait entre 60 et 70 ans et qu’il y avait un engagement total et que personne n’est parti avant que les lumières ne s’allument. J’ai parlé à un groupe d’environ 5 personnes et ils étaient tous d’accord sur la force du film. J’ai vécu et voyagé en Irlande du Nord et en Irlande (comme c’était le cas) au début des années 80, j’ai donc vraiment apprécié la qualité du scénario. Le jeu des acteurs était exceptionnel et l’humour noir était dans mes cordes. Je ne suis pas un grand fan de hip-hop et je n’ai certainement pas besoin de noter le film en tant que tel, mais j’ai toujours eu une très haute estime pour Eminem et Die Antwoord et c’est clair. Pour moi, ce dernier a définitivement influencé le son et le style de Kneecap en tant que groupe. Je l’aurai en Blu-ray en temps voulu, mais je pense que je serai le seul dans la famille à « le comprendre ». J’espère que mes enfants comprendront au moins les références culturelles et apprécieront la bande-son géniale. Si vous en avez l’occasion, essayez-le, car ce film illustre à quel point une œuvre d’art peut être créée avec un budget très limité et des acteurs crédibles. Basé sur une histoire vraie.
